Le Chef du gouvernement : Notre pays est sur la bonne voie et nous poursuivons l’opérationnalisation des réformes importantes
Le Chef du gouvernement, M. Saad Dine El Otmani a déclaré que le Maroc est sur la bonne voie, grâce à une batterie de réformes structurantes visant l’amélioration des conditions sociales des citoyens et le renforcement de la compétitivité de l’économie nationale ainsi que des entreprises marocaines.
Intervenant lors de la dixième réunion du Comité national de l’environnement des affaires(CNEA) vendredi 7 décembre 2018, le Chef du gouvernement a annoncé qu’une batterie réformes juridiques et procédurales importantes est programmée pour l’année prochaine afin d’améliorer le climat des affaires, précisant que l’opérationnalisation des réformes structurantes importantes est en cours dans le but de renforcer l’investissement et de créer des opportunités d’emplois.
Le Chef du gouvernement a souligné dans ce contexte que « le renforcement de l’investissement et de l’entreprise est considéré comme un moteur clé pour le développement et a un impact positif sur la vie des citoyens et sur les conditions sociales. », mettant l’accent sur la nécessité de mener les réformes dans une logique participative impliquant les différents acteurs économiques et les partenaires sociaux. « Nous pouvons réussir à bien mener ces réformes si nous arrivons à conjuguer nos efforts et à dépasser nos insuffisances et nos difficultés », a soutenu M. El Otmani.
« Le Comité national de l’environnement des affaires, a ajouté le Chef du gouvernement, est une référence nationale pour développer des mécanismes du dialogue et de consultation permettant d’identifier les dysfonctionnements auxquels se heurte l’entreprise. C’est aussi un outil pour la coordination de l’action commune et le suivi de l’opérationnalisation des réformes transversales et les chantiers liés à l’amélioration du climat des affaires. »
Le Chef du gouvernement a souligné par ailleurs qu’il œuvrera, en plus du renforcement de l’action du Comité national de l’environnement des affaires, à développer et à améliorer les mécanismes de dialogue permanent et de consultation entre les représentants du gouvernement, la CGEM et le secteur privé.
Depuis sa création en 2010, le CNEA a réalisé une série de projets de réformes visant à faciliter la tâche des entreprises et à améliorer le climat des affaires, permettant au Maroc d’améliorer de 9 places, en l’espace d’une année, son classement dans le Doing Business 2019 de la Banque mondiale, et de se hisser ainsi au 60ème rang.
le Chef du gouvernement a annoncé qu’une batterie réformes juridiques et procédurales importantes est programmée pour l’année prochaine afin d’améliorer le climat des affaires, précisant que l’opérationnalisation des réformes structurantes importantes est en cours dans le but de renforcer l’investissement et de créer des opportunités d’emplois.
Le Chef du gouvernement a souligné dans ce contexte que « le renforcement de l’investissement et de l’entreprise est considéré comme un moteur clé pour le développement et a un impact positif sur la vie des citoyens et sur les conditions sociales. », mettant l’accent sur la nécessité de mener les réformes dans une logique participative impliquant les différents acteurs économiques et les partenaires sociaux. « Nous pouvons réussir à bien mener ces réformes si nous arrivons à conjuguer nos efforts et à dépasser nos insuffisances et nos difficultés », a soutenu M. El Otmani.
« Le Comité national de l’environnement des affaires, a ajouté le Chef du gouvernement, est une référence nationale pour développer des mécanismes du dialogue et de consultation permettant d’identifier les dysfonctionnements auxquels se heurte l’entreprise. C’est aussi un outil pour la coordination de l’action commune et le suivi de l’opérationnalisation des réformes transversales et les chantiers liés à l’amélioration du climat des affaires. »
Le Chef du gouvernement a souligné par ailleurs qu’il œuvrera, en plus du renforcement de l’action du Comité national de l’environnement des affaires, à développer et à améliorer les mécanismes de dialogue permanent et de consultation entre les représentants du gouvernement, la CGEM et le secteur privé.